Lampes à pétrole : un peu d’histoire !

Merci Ignacy !

La prochaine fois que vous allumerez une lampe à pétrole, pensez à cet inventeur génial, le pharmacien polonais Ignacy Lukasiewicz, qui a changé le monde, en 1853, avec son idée, fruit de la réflexion et de l’observation !

Cette invention, incroyable pour l’époque, a révolutionné la façon dont les gens ont vécu avant l’arrivée des sources d’éclairage électrique. Avant cela, les gens devaient se contenter de la lueur vacillante des bougies ou des lampes à huile un peu fumante pour éclairer leur maison.

La lampe à huile est une invention qui remonte à l’Antiquité, et qui a été utilisée pendant des siècles, mais la lampe à pétrole a apporté des améliorations significatives en termes de durée de combustion et de luminosité. Les premières lampes à pétrole ont été développées au cours du 19ème siècle, et ont rapidement remplacé les lampes à huile en raison de leur facilité d’utilisation et de leur meilleure efficacité.

Cependant, la lampe à pétrole n’était pas un luxe accessible à tous. Les gens devaient être assez riches pour pouvoir se permettre d’en acheter une, car le pétrole était assez cher à l’époque. Les gens utilisaient donc ces lampes pour les moments importants, comme les soirées d’hiver ou pour éclairer les pièces où ils passaient beaucoup de temps, comme les bibliothèques ou les chambres à coucher.

En résumé, la lampe à pétrole a représenté un progrès qui a révolutionné la façon dont les gens ont vécu avant que l’arrivée des sources d’éclairage électrique ne représente un nouveau bond en avant.

et aujourd’hui…

Aujourd’hui, vous pouvez encore bénéficier de la douce quiétude, de la lumière chaude des lampes à pétrole, bien qu’il n’y ait plus de magasins pour les trouver ! En effet, vous verrez dans la partie « boutique » de ce site tout un ensemble de lampes que je déniche pour vous, une à une, et que je restaure pour qu’elles redeviennent parfaitement fonctionnelles. si les lampes à pétrole vous séduisent, repassez sur cette page régulièrement, car j’en ajoute souvent, et, souvent, il y en a qui partent !